Alexandra Clarkson est bouleversée. Sa mère vient de se suicider, la laissant brutalement face à un immense sentiment de vide. De vide, mais aussi d’abandon, car elle est désormais seule pour lever le voile qui plane sur ses origines et répondre aux questions qu’elle se pose depuis l’enfance. Lorsqu’elle contacte l’inspecteur Daniel Reed, le dernier à s’être entretenu avec sa mère, Alexandra est pourtant loin de s’attendre aux révélations qu’il lui fait : elle aurait grandi jusqu’à l’âge de cinq ans dans une riche et prestigieuse famille de
Alexandra Clarkson est bouleversée. Sa mère vient de se suicider, la laissant brutalement face à un immense sentiment de vide. De vide, mais aussi d’abandon, car elle est désormais seule pour lever le voile qui plane sur ses origines et répondre aux questions qu’elle se pose depuis l’enfance. Lorsqu’elle contacte l’inspecteur Daniel Reed, le dernier à s’être entretenu avec sa mère, Alexandra est pourtant loin de s’attendre aux révélations qu’il lui fait : elle aurait grandi jusqu’à l’âge de cinq ans dans une riche et prestigieuse famille de viticulteurs de la vallée Sonoma, en Californie, loin de la ville. Cinq années dont elle n’a aucun souvenir et au cours desquelles, apprend-elle, son petit frère a mystérieusement disparu. Comment a-t-elle pu oublier ce terrible événement, et pourquoi ces cinq années ont-elles été complètement effacées de sa mémoire ? Résolue à découvrir la vérité coûte que coûte, Alexandra poursuit sa quête pour briser l’amnésie, même si elle doit pour cela mettre au jour de tragiques secrets de famille. Des secrets pourtant destinés à rester enfouis à tout jamais… A propos de l’auteur : « Indispensables », selon USA Today et le New York Times, les romans d’Erica Spindler sont de ceux « qu’on ne lâche qu’à la dernière page ». Ses intrigues, brillantes et terrifiantes, foisonnent de détails authentiques qui rendent la lecture plus captivante encore. Au point qu’Erica, qui a le don de transformer n’importe quel fait divers en un thriller à vous glacer le sang, se considère parfois, non sans humour, comme « totalement infréquentable ».
